Marie-Laure Garnier

« Un soprano lyrique, ample, nourri, égal, au volume suffisant et à l’aigu assuré » (Christophe Rizoud, Forum Opéra)

« La soprano toucha le public par la douceur de sa voix, sa grâce, le tout teinté d’un humour savamment dosé» (Jacques Jarmasson, Projecteurtv.com)

www.marielaure-garnier.com

Révélation Classique ADAMI, Marie-Laure Garnier est récemment nommée lauréate HBSC.

À l’opéra, on découvre la prometteuse soprano dans des rôles hauts en couleurs tels que La Cantatrice dans Reigen de Boesmans, Tosca de Puccini, Gerhilde dans La Walkyrie de Wagner et Ygraine dans Ariane et Barbe Bleue de Dukas au Capitole de Toulouse.

L’artiste affectionne particulièrement le Lied et la Mélodie. Déployer une palette de couleurs, raconter, servir et incarner le verbe, voilà autant d’attentions qui nourrissent son chant.
Passionnée de musique de chambre, elle se produit aux côtés de partenaires de choix tels Adam Laloum, Anne Le Bozec, Mary Olivon, Célia Oneto Bensaid, Tristan Raës, Jonas Vitaud.

Marie-Laure Garnier se produit en récital sur des scènes prestigieuses telles que le Théâtre des Champs-Elysées, la Philharmonie de Paris, le Capitole de Toulouse, le Festival de La Chaise-Dieu, etc. À l’étranger, on la découvre à l’Oxford Lieder Festival, à l’Auditorium Reina Sofia à Madrid, au Palazzo Contarini Polignac à Venise, à l’Orangerie du Manoir de Skebo en Suède, à la Schumannhauss en Allemagne, ou encore au Théâtre du Bolchoï à Moscou.

Au cours de la saison 2019-2020, on pourra l’entendre au Festival de La Chaise-Dieu, dans les opéras de Compiègne, Arles, Rouen, Lille et au Musée d’Orsay. Puis, elle s’envolera vers Montréal, Londres et Oxford. Enfin, on la retrouvera au Capitole de Toulouse et à l’Opéra Royal du Château de Versailles dans Platée de Rameau.

La soprano Marie-Laure Garnier débute son parcours artistique en Guyane puis au CRR de Paris. En 2009, elle intègre la classe de chant lyrique de Malcolm Walker au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Après un brillant Prix de chant, elle obtient un Diplôme d’Artiste Interprète ainsi qu’un Master de Musique de Chambre.

Marie-Laure Garnier est lauréate de plusieurs concours, notamment du Concours International de chant de Mâcon en 2014, de la Fondation Cziffra en 2015. Au Concours Nadia et Lili Boulanger 2017, la soprano remporte le prix de la Mélodie Française aux côtés de la pianiste Célia Oneto Bensaid. Elle est nommée « Jeune Talent d’Outre-Mer 2018 » par le Réseau des Talents d’Outre-Mer et remporte le Prix Voix des Outre-Mer 2019.

Outre son amour pour la scène, Marie-Laure Garnier est une artiste engagée au service d’autrui au travers d’actions socio-culturelles. En effet, en partenariat avec la Philharmonie de Paris et le Festival d’Aix-en-Provence, elle anime de nombreuses médiations culturelles auprès de publics n’ayant pas accès à la musique dite classique. Elle organise régulièrement des ateliers de chant choral dans des établissements scolaires et dans des entreprises ; par ailleurs elle a dirigé le chœur gospel The Sharing Singers avec qui elle a donné de nombreux concerts notamment auprès de personnes isolées (maisons de retraite et maisons médicalisées).

Pour Marie-Laure, la musique est un vecteur de lien social dont on ne saurait se passer.

2019 – rencontre aux Chorégies d’Orange

 

Marianne Piketty

« Densité, fougue, virtuosité, intériorité et générosité » sont les termes élogieux avec lesquelles la presse accueille Marianne Piketty.
De Bach à Piazzolla, de la diminution baroque à la création contemporaine, la violoniste Marianne Piketty développe une carrière aussi dynamique que versatile : apparitions solistes, en récital, à la tête d’un ensemble, ainsi que dans ses nombreux projets de musique de chambre.
Diplômée au CNSM de Paris et à la Juilliard School de New-York, elle est l’une des héritières de la tradition classique du violon grâce à sa formation auprès de grands maîtres tels que Itzhak Perlman ou Yehudi Menuhin.
En 2013, Marianne Piketty réunit autour d’elle Le Concert Idéal, ensemble à géométrie variable de solistes et chambristes internationaux venus d’horizons aussi divers que spécialisés qui emploient toutes leurs ressources pour explorer la musique sous toutes ses coutures, au travers du temps et de l’espace mais aussi de ses relations avec la littérature, le théâtre et la danse.
Artiste aussi charismatique qu’incontournable, Marianne Piketty se distingue notamment par une extraordinaire envie d’entreprendre, un goût inépuisable pour les nouvelles rencontres et la performance, avec toujours au cœur la volonté de partage et l’esprit du collectif. La rigueur, l’exigence et le dépassement de soi sont les maîtres mots d’une violoniste qui pratique son instrument au pas de course, au rythme d’un athlète.
Marianne Piketty joue un violon vénitien de Carlo Tononi daté de 1685.

Emmanuel Rossfelder

Emmanuel Rossfelder débute la guitare à l’âge de cinq ans. Il commence l’étude de son instrument comme élève de Raymond Gellier. À l’âge de huit ans il entre au conservatoire de musique d’Aix-en-Provence dans les classes de Bertrand Thomas. À quatorze ans il obtient la médaille d’or du conservatoire d’Aix-en-Provence et devient élève d’Alexandre Lagoya au Conservatoire de Paris. Il est alors le plus jeune guitariste à intégrer les classes du maître Alexandre Lagoya. À seulement dix-huit ans il obtient son prix du Conservatoire de Paris. En 2004, il est nommé Révélation soliste instrumental de l’année des Victoires de la musique classique.
Emmanuel Rossfelder a enregistré quatre CD en solo et un DVD. La sortie de son dernier disque, consacré au Concerto d’Aranjuez et à la Fantaisie pour un gentilhomme de Joaquin Rodrigo, avec l’Orchestre d’Auvergne sous la direction d’Arie Van Beek, marque ses vingt ans de carrière.
En 2011, il interprète le rôle de Gilbert Bécaud dans Cloclo de Florent Emilio Siri.

Discographie :

  • Danses latines (2001 Distribution Harmonia Mundi)
  • La guitare lyrique (2004 Distribution Harmonia Mundi)
  • Sueno (2006 Distribution Harmonia Mundi)
  • Bach… Haendel Scarlatti Weiss (2009 Distribution Harmonia Mundi)
  • Le Maitre et l’Élève : Danses pour Cordes (Collection 1001 Notes, 2010 Intégral Classique)
  • Joaquin Rodrigo : Concert d’Aranjuez – Fantaisie pour un Gentilhomme (23 octobre 2012 Distribution Harmonia Mundi)
  • Virtuoso (M’L’Art Production – Label Loreley)

Noë Huchard

Noé Huchard, jeune pianiste de Jazz de plus en plus actif sur la scène hexagonale, est né le 20 Octobre 1999 en région Parisienne.
Il commence la musique à l’âge de 3 ans et prend ses premières leçons de piano classique. Il grandit en Seine-et-marne et rentre au conservatoire à l’âge de 6 ans. Il y fera la rencontre de Muzaffar Abdullah, concertiste Malaisien vivant à Paris, qui sera son professeur de piano classique pendant plus de 10 ans.

Cependant, son intérêt pour d’autres musiques, notamment le Jazz et les musiques improvisées, se développe très tôt au contact de son père ( le batteur Stéphane Huchard ) . C’est à l’adolescence que Noé commence à travailler ces musiques , parallèlement à ses études classiques.

Après 3 ans au CRD du Val Maubuée à Noisiel ( d’où il sortira avec un DEM mention Très Bien à l’Unanimité avec les Félicitations du jury ) puis une année au CRR de Paris ( où il étudie notamment avec Paul Lay, Emil Spányi, Pierre Bertrand… ), il intègre en 2017 le département jazz du CNSMD de Paris . En juin 2019, Il y obtiendra sa Licence Mention Très Bien à l’Unanimité avec les Félicitations du jury.

Depuis, il multiplie les rencontres musicales en tout genre: En Novembre 2018, il participe à une tournée en Argentine avec le Quartet du percussionniste Minino Garay, et fait partie de la première édition du DiVino Festival International Music à San Rafaël de Mendoza avec notamment Jacky Terrasson, Pierre Bertrand, Stéphane Belmondo…

En Avril 2019, Il participe à une tournée au Mexique avec le groupe “Caja Negra” du saxophoniste Pierre Bertrand ( Victoire du Jazz 2018 ).

Très présent dans les clubs Parisiens, on peut le voir jouer, entre autres, avec Rick Margitza, Nicolas Folmer, Jérome Sabbagh, Thomas Bramerie, Cecil Recchia, Jon Boutellier, Pierrick Pédron, Eric Séva,, Line Kruse, Rémi Vignolo, Riccardo Del Fra, Stéphane Guillaume, le Zoot Collectif, Guilhem Flouzat…

Il se produit également dans de nombreux festivals à travers le monde, en tant que Sideman ou avec ses projets: Jazz à St-Germain-Des-Prés, Consulat Français de New-York, Touches de Jazz, Jazz à Caudéran, Ocus Pocus ( La Réunion ), Ferte Jazz Festival, Divino Festival ( Argentine ), Aguascalientes jazz Festival ( Mexique )…

En début d’année 2018, Il crée un nouveau trio réunissant deux jeunes musiciens extrêmement talentueux, tous les deux issus du CNSMDP : Clément Daldosso à la Contrebasse, et Élie Martin-Charrière à la Batterie.

Noé a d’ailleurs très vite l’occasion de se produire dans différents clubs parisiens avec son Trio ( concerts hebdomadaires au Club Nubia de Richard Bona ), conditions idéales pour affiner sa musique et développer son projet!
En Octobre 2019, Il donne un récital au Consulat Français de New-York et reçoit le « Young Pianiste Award 2019 ».

Hugues Leclere

Né en France en 1968, Hugues Leclère se perfectionne auprès de Catherine Collard avant d’entrer premier nommé au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il obtient trois premiers Prix à l’unanimité en piano, analyse musicale et musique de chambre.
Il se produit en France comme à la Cité de la Musique, au Festival Chopin à Nohant, Festival de la Vézère et dans plus de 30 pays : aux Etats-Unis (Universités d’Illinois, de Bloomington, western Michigan, north Texas), en extrême orient (Japon, Chine), et dans la plupart des pays européens : Pays-Bas (Concertgebouw et opéra d’Amsterdam), Allemagne (Musikhalle de Hambourg), Russie, Italie, Espagne (Madrid), Portugal (Festival de Coimbra)…

Il est l’invité de nombreux orchestres (Camerata du Berliner Philharmoniker, Orchestre national de la radio de Prague, Orchestre National de Lorraine, Orchestre d’Auvergne, Orchestre d’état de Mexico, Orchestre de la Garde Républicaine, Orchestre de Minsk, Orchestre national de Samara, Orchestre de Timisoara, l’Ensemble Itinéraire…), sous la direction de Jacques Mercier, Jean-Pierre Wallez, Arie van Beek, Mikhail Shcherbakov, Ondrej Lenard, Sébastian Lang-Lessing, Vladimir Valek, Stefan Fraas…
Interprète privilégié de Debussy, Ravel et leurs contemporains, Hugues Leclère affirme sa pleine maturité dans le répertoire germanique, qu’il aborde en soliste ou en musique de chambre. Il possède une copie de Stein qui s’accorde idéalement avec les chefs d’œuvres de la fin du XVIIIème siècle. Il est le partenaire d’Augustin Dumay, du Streichquintet du Berliner Philharmoniker, des Solistes de l’Orchestre de Paris, des quatuors Modigliani, Talich, Debussy, Amarcord, Mandelring…

Acteur reconnu de la vie artistique contemporaine, Hugues Leclère travaille avec de nombreux compositeurs. En 2012, il a donné plus de 50 fois en France et dans le monde son projet Debussy, poète de la modernité, riche de 22 créations commandées à 22 compositeurs. Sociétaire de la SACD, il conçoit des spectacles originaux entremêlant les différentes expressions artistiques, avec notamment les comédiens Marie-Christine Barrault, Daniel Mesguich, Francis Huster et Alain Carré ou encore le peintre Ruben Maya. En 2013, il crée trois spectacles qui obtiennent le label officiel de la Mission du Centenaire de la Première Guerre Mondiale, dont L’Engrenage 1913–14 où il partage la scène avec le journaliste Patrick Poivre d’Arvor pour plus de 40 représentations.
En 2016, il réalise la première adaptation mondiale des Cahiers de Sainte-Hélène, la Mort de l’Aigle, qui retrace l’exil de Napoléon à Sainte-Hélène, où il interprète Beethoven aux côtés du comédien Francis Huster. En 2017, il imagine avec l’improvisateur Jean-François Zygel deux spectacles originaux, Bachmania et Debussymania, joutes musicales qui mêlent interprétations et improvisations.

En 2018, pour le centenaire de la mort de Claude Debussy, il créera au festival Musica Debussy, 12 Études de modernité, pour lequel il a passé commande de 10 études à 10 compositeurs afin d’entrelacer les 12 Études de Debussy.
Hugues Leclère est directeur artistique du festival international Nancyphonies, enseigne au Pôle supérieur de Paris Boulogne-Billancourt et dirige le Concours International de Piano de Lagny-sur-Marne.

Astrig Siranossian

Astrig Siranossian, violoncelliste

Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste avec de grands orchestres. Invitée régulièrement par Daniel Barenboim, ses partenaires de musique de chambre ne sont pas moins que Simon Rattle, Antonio Pappano, Yo-Yo Ma, Sol Gabetta, Bertrand Chamayou ou Daniel Ottensamer. Les plus grandes scènes ont déjà accueilli la jeune musicienne : Philharmonie de Paris, Musikverein de Vienne, KKL Luzerne, Casino de Bâle, Opéra de Dijon, Flagey Bruxelles, Théâtre Colon Buenos Aires et Kennedy Center Washington.

L’enregistrement réalisé par le label Claves Records en 2018, réunissant les concertos de K. Penderecki et A. Khachaturian remporte les éloges de la presse avec notamment 5 diapasons, 5 étoiles Classica, Clef du mois ResMusica… Le précédent disque comportant des œuvres de Gabriel Fauré, Francis Poulenc et Komitas avait reçu le prix Musica.

Depuis 2015, Astrig Siranossian est artiste en résidence à la Chapelle musicale Reine Elisabeth ainsi qu’à la Fondation Singer-Polignac. Avec le label Évidence, elle enregistre un disque de musique de chambre consacré à Franz Schubert qui sera édité en 2018. En 2016, elle prend la direction artistique des Musicades Romanesques, festival de la ville de Romans qui met en miroir la musique avec les arts mais aussi la gastronomie.

Elle apparait sur TF1, France 2 ainsi que les ondes de radio musicales à travers l’Europe et les Etats-Unis.

Astrig Siranossian a débuté la musique à l’âge de trois ans. Admise cinq ans plus tard au C.N.R. de Lyon, elle poursuit ses études au C.N.S.M. de Lyon, obtenant à dix-huit ans son diplôme d’études supérieures avec les félicitations du jury. C’est en Suisse, au Conservatoire supérieur de Bâle, qu’elle achève sa formation dans la classe d’Ivan Monighetti, réussissant avec les plus hautes distinctions son master concert et son master soliste.

Astrig joue un violoncelle Ruggieri de 1676, généreusement prêté par la Fondation Boubo Music de Binningen.

Jean-Michel Lesdel

Le compositeur, pianiste, organiste, arrangeur, Jean-Michel LESDEL, est un musicien classique, qui joue dans le domaine du jazz et des musiques improvisées, mais il s’aventure aussi du côté des musiques populaires et d’autres univers encore…

Musicien hors catégorie, qui a exploré et explore encore de nombreux univers musicaux, accompagnant les artistes de tous horizons (Jazz, Classique, Zouk, Gwo Ka, fusion, Jazz carribéen etc.).

D’une extrême sensibilité, le personnage révèle l’inattendu et réhabilite l’émotion, par ses mélodies aventureuses dont on suit le cheminement avec un bonheur constamment renouvelé.

Jean-Michel commence le piano à 7 ans, et se révèle tout de suite très doué : facilités extraordinaires de mécanisme pianistique, une mémoire incroyable, et une aisance innée pour l’harmonie. Il prend des cours avec les meilleurs professeurs de la place au centre Robert Mavounzy.

A l’âge de 17 ans, il quitte la Guadeloupe pour poursuivre ses études musicales au Conservatoire Nationale d’Orléans. En musique de chambre, il reçoit l’enseignement d’Yves ROULLIER. Il étudie l’écriture avec
Patrick CHOQUET, la Direction d’orchestre avec Jean Marc COCHEREAU .
C’est en 1992 qu’il obtient son Premier prix dans la classe de François-Henri Houbart. Parallèlement à l’orgue, il est claveciniste dans la classe du ûtiste de renom Pierre-Alain Biget. Jean-Michel Lesdel a travaillé d’autres styles musicaux, notamment lors de Masters classes avec des maîtres tels que Gonzalo Rubalcaba ou encore Je Gardner pour le Jazz et le Latin-jazz.

En 2000, Il reçoit le prix du Conseil Général en qualité de pianiste et, en 2009, est décoré de la Palme d’Argent de l’Encouragement Public. Il va mettre toutes les facettes de ses multiples talents au service de son pays en tant que professeur, compositeur, accompagnateur, soliste, arrangeur, directeur des chœurs «Rézéda», «Baladins» et directeur du «Lamentin Karukera Big-Band Project».

De nombreux concerts jalonnent son parcours en Guadeloupe, en Martinique, à Santiago de Cuba, à la Havane, à Paris, et ses œuvres ont la beauté que seul le génie et l’amour peuvent créer.

En 2009 il intègre le groupe Dissonance. Le concept musical de ce groupe qui mêle des éléments de la culture Guadeloupéenne à d’autres cultures musicales plaît à cet artiste qui peut laisser s’exprimer le tumulte de son être et son âme de Guadeloupéen.

De la musique classique a la musique populaire guadeloupéenne, Jean-Michel navigue entre des compositions de Vivaldi et Chopin à la célèbre berceuse guadeloupéenne Dodo pitit ou l’incontournable Eloi de Kristène Aigle.

Enseignant l’orgue et le piano, Jean-Michel Lesdel est actuellement Directeur de l’Ecole de musique du Lamentin.