Magali LEGER
Soprano
Magali Léger a commencé ses études de chant avec Christiane Eda-Pierre, et les poursuit avec Christiane Patard au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où elle obtient le premier prix à l’unanimité en 1999.
En 2003, elle est nommée dans la catégorie « Révélation » des Victoires de la Musique. Elle devient rapidement une habituée des plus grandes scènes de concert et d’opéra (Opéras de Lyon, Nantes, Metz & Rouen, Opéra Comique, Grand-Théâtre du Luxembourg, Châtelet, Cité de la Musique, Lincoln Center à New-York, Teatro Comunale de Bologne, Vienne, Festivals d’Aix-en- Provence, de Beaune, etc.), où elle aborde aussi bien le répertoire baroque que la création contemporaine, sans négliger les joyaux du répertoire classique et romantique.
Au contact de personnalités telles que Marc Minkowski, Michel Plasson, Evelino Pido, Eliahu Inbal, William Christie, Emmanuelle Haïm, Macha Makeïeff, Laurent Pelly, Raoul Ruiz, Jérôme Deschamps, elle chante dans Mignon (Thomas), La Veuve Joyeuse (Lehár), Le Roi malgré lui et L’Étoile (Chabrier), Thaïs et Werther (Massenet), Don Pasquale et L’Élixir d’Amour (Donizetti), Les Pêcheurs de perles (Bizet), Porgy and Bess (Gershwin), sans oublier Mozart avec Les Noces de Figaro, Idoménée et L’Enlèvement au sérail.
Les saisons dernières, elle a interprété « Minka » du Roi malgré lui de Chabrier à l’Opéra de Lyon, et à l’Opéra Comique à Paris. On a également pu l’entendre dans L’Amant Jaloux de Grétry à l’Opéra Royal de Versailles et encore à L’Opéra Comique sous la direction de Jérémie Rhorer, et dans La vie Parisienne d’Offenbach au Capitole de Toulouse, mise en scène par Laurent Pelly. Puis elle était la « Thérèse » des Mamelles de Tirésias, au festival de Feldkirch et au Théâtre Impérial de Compiègne, « Fatime » dans Abu-Hassan de Carl Maria von Weber à l’opéra de Besançon et « Musetta » dans La Bohème à l’Opéra de Saint-Etienne.